« Le Soir Magazine » – 2003 –  Marc Danval – Belgique  

 

(…) Alain Cupper a suivi la voie royale tracée par Serge Chaloff, Pepper Adams, Nick Brignola ou Cecil Payne (…) Cupper porte en lui tous les élans du jazz quand il brille d’authenticité, en plein rêve et de sang généreux. Dès lors, il s’impose comme une esthétisation du temps vécu. Le présent album apporte la confirmation d’un talent réel à peine sorti du moule. (…)

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« Jazz man » – 2004 – Pierre de Choqueuse – France

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Alain Cupper est un jeune et prometteur musicien Belge qui joue du baryton, un gros et ingrat saxophone qu’il parvient à parfaitement maîtriser.  A la recherche d’un style propre, il a écouté les maîtres de l’instrument qui l’ont précédé, Serge Chaloff, Pepper Adams, Gerry Mulligan et s’en inspire en évitant de les copier. Il possède avec eux un même vocabulaire, celui de bop (...) 

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« The Bulletin » – 2004 – Michael Leahy – Belgium

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No lounge, no world, no electro: for better or worse, Alain Cupper is a child of hard bop alone. (…) The four bounce off each other, alternating fluent solos and fantastic ensemble playing. The baritone is a deep instrument, and Cupper keeps it agile. (…) But Cupper plays it bop, and needs no references to drive it bop, and needs no references to drive the music forward. (…)

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«  De Morgen » – 2004 – Jempi Samyn – Belgie

  

(…) De bariton sax wordt zelden als solo-instrument gebruikt in de mate waarin het hier gebeurt, wellicht vanwege de eentonigheid die men zou kunnen vrezen. Ten onrechte, zo blijkt: op vakkundige wijze halt Alain Cupper dit instrument, voornamelijk bested om het lage register te bespelen, uit de schaduw van zijn treurige bestaan, via lyrische melodieën, en forse hardbopuithalen. Op die manier treedt hij stijlvol swingend en met verve in de voetsporen van Harry Carney, Jack Washington, Sahib Shihab, Gerry Mulligan, Pepper Adams of, dichter bij ons, Jean-Pierre Gebler. (…)

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« CitizenJazz » – 2004 – Mwanij Ezana – France

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(…) Cupper joue un hard bop qui ignore presque tout de ce qui s’est passé musicalement depuis le milieu des années 60.  Les résultats peuvent être plutôt satisfaisants comme sur les deux premiers morceaux, un Tentative mi-tempo accueillant ou un Bunga enfumé, plus lent et bluesy.  Le saxophoniste s’y montre à l’aise, avec un son naturellement éraillé. (…)     

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« Jazz News » – 2005 – Ron Sagye La Rue – USA

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Alain Cupper is a new voice on Baritone Sax from Belgium, but with this voice he brings tradition. (…) He can swing, soothe, excite and he does, on all the compositions on Bunga. (…) Cupper can blow "free" he does some interesting things on this compact disc. (…)

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« Le Soir Magazine » – 2005 – Marc Danval – Belgique  

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(…) Alain Cupper réveille les tempêtes en modulant l’instrument chaud comme un jeune chat. Débarrassé d’influences et de conseils, il respire à présent un grand vent de liberté inspirée, partagée avec des comparses d’anthologie (…)

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« Jazzman » – 2006 – Philippe Schoonbrood – France

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(…) Le saxophoniste baryton bruxellois Alain Cupper fait partie de ceux qui assument l’héritage bebop et celui du cool. Son dernier album en quintette « Cold Station » révèle ses talents de compositeur – une écriture très fluide – et d’arrangeur, ainsi qu’une maîtrise instrumentale séduisante. (…)

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 « Jazz Hot » – 2006 – Jean-marie Hacquier – Belgique/France

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(…) Alain Cupper compose et arrange la plupart des morceaux dans un mood bop et/ou cool. Sa technique et son timbre se sont affinés avec ce second opus qui sonne comme l’aboutissement de son travail. Il faut souligner qu’il est magnifiquement entouré par des musiciens qui n’ont plus rien à prouver (…) D’un étonnant classicisme pour un musicien encore jeune, cet album réjouira tous les amateurs d’un saxophone baryton trop rare en petites formations.

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« Dragon Jazz » – 2010 – Pierre Dulieu – Belgique

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(…) une silhouette noire presque austère en retrait et, par devant, un canon rutilant de mille feux. C’est lui le roi de cette fête qui convoque dès le premier titre, le hard bop orthodoxe des années Blue Note. (…) Enchevêtré à la trompette, le baryton délivre un son tellurique qui monte des profondeurs de la terre pour dialoguer avec ses complices dans un grand format romantique (...) rares après tout sont les musiciens de ce côté de l’Atlantique qui savent manipuler avec autant d’assurance les clés de cet instrument éléphantesque qu'est le sax baryton.

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«  Le Soir » - 2011 – Jean-Claude Vantroyen - Belgique

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Ce qui émerge immédiatement de cet album, c’est l’élégance.  Au sax baryton, Alain Cupper a pu dompter les graves, imposer de la légèreté, donner une musique racée. (…) 0n voyage en pleine sérénité dans un jazz raffiné qui ne cède jamais aux facilités du pittoresque.

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« Dragon Jazz » - 2011 – Pierre Dulieu – Belgique

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Du saxophone baryton, instrument encombrant au timbre mat jadis libéré par Harry Carney, Alain Cupper a percé tous les secrets. Ainsi, dans une même dynamique, sa voix peut-elle plonger dans les graves et remonter du fond des âges, poussée par le désir sans fin de grimper le registre sonore. Mais Cupper le fait sans heurts, tout en nuances et expressivité (...).  Bien entendu, il est fait allégeance aux grands maîtres des fréquences basses comme Pepper Adams ou Gerry Mulligan mais au-delà des plaisirs de la résurgence, ce qui rend « Peaceful Traveller » irrésistible est bien davantage ce fragile équilibre entre puissance rauque et lyrisme délicat, swing intense et charme envoûtant. Il est remarquable en fin de compte qu’une alliance sonore aussi insolite ait pu produire autant d’émotion et d’élégance.

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« Dragon Jazz online magazine » - 2022 – Pierre Dulieu – Belgique

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O.S.T. Quartet - Excellent ce retour d’Alain Cupper avec un bon groupe et un projet porteur lié aux films qu’on aime (...)

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« L'Avenir » - 2022 – Ariane Bilteryst – Brabant-Wallon / Belgique 

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(...) Comme pour l'enregistrement de l'album, le groupe BlueLine se produira donc en quintet sur scène dans une tournée (...) Trois talentueux musiciens de Jazz, le saxophoniste A. Cupper, le contrebassiste G. Casteels et le batteur G. Triantafylou, complèteront la formation sur scène et se feront plaisir. (...)

 

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